Westland Lysander Mk III

Westland Lysander Mk III

CARACTERISTIQUES TECHNIQUES :

Date de construction : 1942
Restauration : 1982 Début – 1988 Fin

Équipage : 1 pilote + 1 mitrailleur
Armement : 4 mitrailleuses, 12 bombes
Longueur : 9.30 m
Envergure : 15.24 m
Hauteur : 4,42 m

Masse à vide : 2100 kg
Poids maxi au décollage : 3000 kg
Capacité du réservoir principal : 432 litres
Capacité du réservoir supplémentaire : 682 litres
Poids maximum au décollage : 6600 lbs (3 tonnes)

Vitesse maximale : 300 mph (480 km/h)
Vitesse normale d’atterrissage : 115 km/h
Vitesse de décrochage : inférieure à 60 km/h

Moteur : Bristol Mercury XX, 9 cylindres en étoile de 24,9 litres
Puissance à 2750 tours : 890 CV
Consommation normale en croisière : 180 litres/heures

 

 

 

Une modification du système de freinage, les pneus et quelques instruments de communications et de radionavigation modernes, obligatoires pour le vol dans les espaces aériens contrôlés, sont les seules pièces montées sur notre avion qui ne sont pas d’origine.

Les couleurs du Lysander des sabena Old Timers « OO-SOT »

Immatriculation :
MA : code du 161 squadron
D : code individuel (piloté par le Cpt. R. Hooper)
2442 : numéro de série, le 24eme construit en 1942 (numéro Canadien)
OO-SOT : numéro au registre des matricules civils belges

Le Westland Lysander Mk III des SABENA OLD TIMERS porte les couleurs du « A-Flight », Squadron 161 SD ( Special Duties ) du service des opérations aériennes clandestines de la Royal Air Force en 1943. Avion transporteur d’agents secrets, qui fut piloté par le capitaine Robin HOOPER, qui participa à l’opération bien particulière du 16 novembre 1943 appelée « SCENERY ». Son passager Mr. Willy DE QUIN, agent secret belge, devait être déposé en France occupée.

Vous lirez l’histoire de ces hommes dans :
 » Nous atterrissions de nuit  »
Histoire du Lysander dans les opérations spéciales, par Hugh Verity, Editions France Empire
Ainsi que dans
« Lysander, de la tourmente au clair de lune »
Histoire du Lysie et des Sabena Old Timers, par Jean-Michel Legrand, Edité par la Foundation Old Timers.

 

SNOT